La fille de l’UQAM, de son vrai nom Hélène Boudreau, est devenue au fil des années une figure incontournable de l’actualité web québécoise. Sa notoriété ne repose pas uniquement sur sa carrière XXX, mais aussi sur une série de frasques publiques qui ont régulièrement enflammé les réseaux sociaux et les médias traditionnels.
À l’origine de la controverse : une photo de finissante jugée provocante où elle montre ses seins, prise dans le cadre de son parcours universitaire en art plastique à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Rapidement, l’image circule en ligne et suscite de vives réactions. Plusieurs se sont précipités pour voir ses photos seins nus d'Hélène Boudreau, ce qui lui a valu son surnom de "Fille de l'UQAM".
Sur son compte sur la plateforme OF, elle a fait un live en s'entrant des gummie Bears dans le derrière. Ça a créé plusieurs sortes de réactions, parfois amusées, parfois choquées, quand les gens ont entendu parler des Gummy Bears dans l'cul. C'en est même devenu pas mal une référence populaire.
Plusieurs frasques publiques sont liées à sa relation tumultueuse avec l'acteur Porno Jessy Jones. Ils ont même eu une rupture autant médiatisée que judiciarisée.
Suite à son succès fulgurant, La Fille de l'UQAM a fait beaucoup d'argent rapidement. Par contre il semble qu'elle ait eu quelques démêlées avec l'Impôt. Autant Revenu Québec que l'Agence du Revenu du Canada (ARC) car elle n'était probablement pas super bien entourée pour le côté des affaires.
Suite entre autres à ses problèmes d'argent, elle a décidé de quitter le Québec et le Canada pour aller vivre à Dubaï aux Émirats Arabes unis. Par contre, comme la présence numérique n'a pas de frontière, même si la Fille de l'UQAM a quitté le Québec, nous allons continuer à entendre parler longtemps d'Hélène Boudreau, même en direct de Dubaï.
Les controverses de la fille de l’UQAM soulèvent une question plus large : sont-elles de simples scandales ou le reflet d’un choc générationnel et culturel autour des normes sociales, du numérique et de la liberté individuelle ?
Quoi qu’il en soit, elles ont solidement ancré son nom dans l’espace public québécois, faisant d’elle une figure aussi commentée que controversée.
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